LA ROCHE 2015... impressions
Publié : mer. août 05, 2015 4:52 pm
Bien rentrés au bercail… je vois que personne n’a encore rien dit alors je me lance :
Arrivés dès le lundi début d’aprèm, on a attendu tranquillement l’ouverture officielle du terrain de camping (comprendre un machin à 4 roues équipé pour enlever un des gros blocs rocheux qui interdisent l’accès aux véhicules sur la pelouse) en grignotant fébrilement des chips et des rondelles de sauciflard.
Le bloc enlevé, ça sentait l’ambiance 1° jour des soldes : rush sur les meilleures places sans surtout avoir l’air de forcer l’allure. Ah, le petit coin d’ombre du matin est pour celui là, la cage de but pour celui-ci… nous, comme l’année dernière, on s’est collé à la haie, pas trop loin de la sortie.
Montage du dôme à jams (on mange à une bonne quinzaine là-dessous mine de rien), d’une tente à bordel attenante, et en rien de temps, on s’est retrouvés propriétaires d’un hôtel et de 2 maison rue de la paix, à deux pas de la case départ !
Nettement plus chouette que l’an passé où on a écopé un maximum de flotte, ce coup ci, c’était le grand bleu et la chaleur qui va avec.
D’entrée de jeu, super ambiance, on passe d’un camp à l’autre avec les clous en bandoulière, ça joue dans tous les coins, c’est le pied !
Repas en commun avec les nouvelles connaissances, pas de chichis, chacun ramène son truc et on partage.
Vu que les vestiaires du tennis ont crâmé, on a eu droit à l’installation de 4 chiottars mobiles confortables, pratiques et discrets (et surtout qui sont restés propres du début à la fin) alors qu’on prenait les douches dans les vestiaires du gymnase.
Douches collectives mais moi, je m’y suis toujours trouvé seul (pas comme tof qui s’est retrouvé à loilpé entre deux énormes tchèques et qui n’osait plus ramasser sa savonnette… mais cela ne nous regarde pas).
On est même venu nous proposer des euroch’s à domicile, ce qui fait qu’on ne s’est pas fadé les queues monumentales du premier soir de festival.
Bref, encore une fois, chapeau à tous ceux qui s’esquintent à nous offrir ces conditions géniales d’hébergement, surtout ne changez rien, tel quel c’est au poil !
Et puis cette année, les déplacements se sont bien fait dans les deux sens.
J’ai vu tous mes vieux copains nous rendre visite pour taper le bœuf au camping, en nous ramenant parfois des hôtes de marque… l’esprit d’origine à refait surface et ça, c’est vachement bien !
Que dire de plus… une semaine paradisiaque, taillée sur mesure pour les boeuffeurs que nous sommes. Tout le monde progresse à son rythme, chacun y va de son conseil pour tel ou tel truc, on ne croise que des gens ouverts et disponibles… je vivrais bien comme ça tous les jours moi sans blague !
Je ne parlerai pas des groupes qui sont passés sur scène parce que d’autres font ça bien mieux (et puis je ne les ai pas tous vus) mais j’ai été vraiment impressionné par certains, quel niveau par moments !
Pour ce qui est des jams en ville, c’était chouette parce qu’il y a eu un maximum de configurations différentes à vivre.
Ca allait du gros bœuf à 25 standards en I IV V, au petit bœuf à 10 ou chacun propose à tour de rôle un morceau qu’il commence, qu’il distribue et qu’il arrête… avec toujours un ou deux tours à blanc pour capter la grille… en passant par les bœufs privilégiés à 4 ou 5 dont on rêve tous plus ou moins.
Y a un mec qui vient systématiquement planter un micro au milieu des jams, par moments, j’aimerais bien entendre ce que ça donne, pure curiosité.
Bon ben voila pour les premières impressions à chaud.
Arrivés dès le lundi début d’aprèm, on a attendu tranquillement l’ouverture officielle du terrain de camping (comprendre un machin à 4 roues équipé pour enlever un des gros blocs rocheux qui interdisent l’accès aux véhicules sur la pelouse) en grignotant fébrilement des chips et des rondelles de sauciflard.
Le bloc enlevé, ça sentait l’ambiance 1° jour des soldes : rush sur les meilleures places sans surtout avoir l’air de forcer l’allure. Ah, le petit coin d’ombre du matin est pour celui là, la cage de but pour celui-ci… nous, comme l’année dernière, on s’est collé à la haie, pas trop loin de la sortie.
Montage du dôme à jams (on mange à une bonne quinzaine là-dessous mine de rien), d’une tente à bordel attenante, et en rien de temps, on s’est retrouvés propriétaires d’un hôtel et de 2 maison rue de la paix, à deux pas de la case départ !
Nettement plus chouette que l’an passé où on a écopé un maximum de flotte, ce coup ci, c’était le grand bleu et la chaleur qui va avec.
D’entrée de jeu, super ambiance, on passe d’un camp à l’autre avec les clous en bandoulière, ça joue dans tous les coins, c’est le pied !
Repas en commun avec les nouvelles connaissances, pas de chichis, chacun ramène son truc et on partage.
Vu que les vestiaires du tennis ont crâmé, on a eu droit à l’installation de 4 chiottars mobiles confortables, pratiques et discrets (et surtout qui sont restés propres du début à la fin) alors qu’on prenait les douches dans les vestiaires du gymnase.
Douches collectives mais moi, je m’y suis toujours trouvé seul (pas comme tof qui s’est retrouvé à loilpé entre deux énormes tchèques et qui n’osait plus ramasser sa savonnette… mais cela ne nous regarde pas).
On est même venu nous proposer des euroch’s à domicile, ce qui fait qu’on ne s’est pas fadé les queues monumentales du premier soir de festival.
Bref, encore une fois, chapeau à tous ceux qui s’esquintent à nous offrir ces conditions géniales d’hébergement, surtout ne changez rien, tel quel c’est au poil !
Et puis cette année, les déplacements se sont bien fait dans les deux sens.
J’ai vu tous mes vieux copains nous rendre visite pour taper le bœuf au camping, en nous ramenant parfois des hôtes de marque… l’esprit d’origine à refait surface et ça, c’est vachement bien !
Que dire de plus… une semaine paradisiaque, taillée sur mesure pour les boeuffeurs que nous sommes. Tout le monde progresse à son rythme, chacun y va de son conseil pour tel ou tel truc, on ne croise que des gens ouverts et disponibles… je vivrais bien comme ça tous les jours moi sans blague !
Je ne parlerai pas des groupes qui sont passés sur scène parce que d’autres font ça bien mieux (et puis je ne les ai pas tous vus) mais j’ai été vraiment impressionné par certains, quel niveau par moments !
Pour ce qui est des jams en ville, c’était chouette parce qu’il y a eu un maximum de configurations différentes à vivre.
Ca allait du gros bœuf à 25 standards en I IV V, au petit bœuf à 10 ou chacun propose à tour de rôle un morceau qu’il commence, qu’il distribue et qu’il arrête… avec toujours un ou deux tours à blanc pour capter la grille… en passant par les bœufs privilégiés à 4 ou 5 dont on rêve tous plus ou moins.
Y a un mec qui vient systématiquement planter un micro au milieu des jams, par moments, j’aimerais bien entendre ce que ça donne, pure curiosité.
Bon ben voila pour les premières impressions à chaud.