A tous, cette discussion pour avoir vos avis sur le type de micros et d'amplis que vous utilisez :
avec les avantages, les defauts, les prix, vos plans de réduction etc....
Malgré le fait de jouer acoustique, qui n'a jamais eu l'expérience d'un son "pourri" lors d'un passage sur scène
" - je ne m'entends pas ?" , " - pas de retour !" , " -le son etait pas terrible hein!"
Bref, on s'eclate pas sur scène quand le son est pas terrible alors, pour mieux faire, utilisons l'expérience des uns et des autres.
Enfin, cette "chaine du son" peut-etre individuelle ou/et utilisée en amplification partagée avec les membres du groupe (table de mixage, enceinte, etc...)
A vos plumes
micros et amplifications
-
Mandochris
- Site Admin
- Messages : 2225
- Inscription : jeu. janv. 18, 2007 9:37 pm
Pour la mando, dans des conditions difficiles, j'ai une Schertler. Je ne l'utilise que dans des situations merdiques.
Philippe en a une et il l'utilise toujours - avec aussi un micro sur pied (il te l'expliquera).
Gilles en a acheté une pour sa gratte et il a beaucoup moins de gêne qu'avant quand il avait des câbles et des boitiers et pré-amplis dans tous les sens ...
Pour le reste, je dois admettre que je suis assez ignorant sur le sujet.
Philippe en a une et il l'utilise toujours - avec aussi un micro sur pied (il te l'expliquera).
Gilles en a acheté une pour sa gratte et il a beaucoup moins de gêne qu'avant quand il avait des câbles et des boitiers et pré-amplis dans tous les sens ...
Pour le reste, je dois admettre que je suis assez ignorant sur le sujet.
Salut les copains,
Grosse question, ça Mr ElTof.
Je vais être clair mais vache pour les sonorisateurs: il faut; la mort dans l'âme, faire définitivement son deuil de sonorisateur compétent pour les string-bands acoustiques en Belgique, en Hollande, en France, en Suisse...
En 20 ans de concerts à tous les niveaux je n'ai rencontré qu'un seul sonorisateur compétent pour le bluegrass en Allemagne.
Tous les autres, ça va du "Ah! il n'y a pas de synthé ni de batterie? Comment qu'on fait alors?" à "Vous tracassez pas les gars, je connais bien la musique de cow boy, j'ai tous les disques de Johnny Cash, ça va aller comme sur des roulettes !" (ça, les copains, ça ne s'invente pas !!!)
Mais le résultat est, à peu près le même: Monsieur Larsen, jamais invité, mais toujours au premier rang; la contrebasse qui ronfle ou qu'on cherche désespérément au sein d'une soupe sonore dont les ingrédients sont le "banjo-tout-dans-les-aigües", la drôle de p'tite guitare, là, avec une crolle, c'est pareil ou bien on la confie au sieur Larsen qui en fait bon usage... La guitare-faut-mettre-un-bouchon-sur-la-rosace-sinon-ça-va-pas-ah-merde-y-a-pas-un-piezzo-dedans?" et le violon-ça-va-trop-fort sans oublier "le dobro-c'est-en-bois-pas-en-fer-c'est-à-cause-de-ça-que-ça-siffle"
Bref, toutes les conneries les plus classiques.
La meilleure que j'aie jamais entendue nous a été donnée par un ingé son de la radio belge francophone (RTBF) alors qu'il était complètement dépassé par son sujet, que le groupe à sonoriser était Good Ol' Person, qu'il avait déjà arraché les oreilles de tout le monde... voilà-t-il pas qu'il me lance fièrement " ça manque de pèche, ce groupe !"
Après de nombreux et infructueux essais, avec GOLDRUSH, nous avions opté pour un système electro-acoustique: tous le même, le système fishman complet (capteur piezzo, micro interne, blender) qui nous permettait de "faire" notre propre son d'instrument. Ceci dit en passant, en newgrass c'était ce qu'il fallait faire!
En gros, le volume était assuré par le piezzo et le "grain" par le micro interne.
Le Blender nous permettait de "travailler" (équilibre et mixage des deux sources, équalisation, et, éventuellement des effets complémentaires) ce son AVANT de l'envoyer à la table de mixage.
Le blender permettait également d'envoyer le mélange des deux sources à la table de façade et uniquement le son du pîezzo à la table de retour, ce qui évitait le Larsen au maximum).
Malheureusement, il reste un important problème non résolus:
Faire comprendre au sonorisateur que:
1. La "rythmique" de bluegrass fonctionne comme une batterie mais qu'il ne faut pas pour autant la mettre "tout en avant" comme dans la disco.
2. Qu'il vaut mieux laisser les musiciens régler leur propre volume en cours de jeu et ne plus jouer avec la "balance" une fois qu'elle est établie.
3. Que, même si tous les zicos demandent de bien entendre la basse et la guitare dans leurs retours et de baisser un peu le banjo dans ces mêmes retours, le public a le droit d'entendre la basse, le banjo et les autres instruments.
4. Que les chanteurs "chantent" (et ne hurlent pas!) dans leur micro et que le chant et ses harmonies sont importants.
5. Que le Larsen se cache dans les médiums et que, précisément, la difficulté est de rendre ces médiums correctement (dans la guitare et la mando...). S'il n'y arrive pas, il y a une phrase magique, un peu radicale mais ça sauve les meubles: "Creuse les médiums ! "
Le gros problème est que, à l'exception de festivals bluegrass (ce qui était le cas en Allemangne), les sonorisateurs sont habitués et équipés pour des instruments électriques, bourrés d'électronique (pédales, racks, effets...). Les trois quarts du temps, plus c'est à fond plus c'est plusse mieux...
Arrivent des espèces d'extra-terrestres avec des instruments acoustiques... z'êtes pas trompés d'adresse, les mecs? Non ? Ben merde alors...
Ah oui, j'oubliais: pas oublier de dire merci au sonorisateur avant de jouer le dernier morceau ni de dire à l'organisateur que le son était super!
Sinon... c'était votre dernier contrat en ce lieu de débauche...
Grosse question, ça Mr ElTof.
Je vais être clair mais vache pour les sonorisateurs: il faut; la mort dans l'âme, faire définitivement son deuil de sonorisateur compétent pour les string-bands acoustiques en Belgique, en Hollande, en France, en Suisse...
En 20 ans de concerts à tous les niveaux je n'ai rencontré qu'un seul sonorisateur compétent pour le bluegrass en Allemagne.
Tous les autres, ça va du "Ah! il n'y a pas de synthé ni de batterie? Comment qu'on fait alors?" à "Vous tracassez pas les gars, je connais bien la musique de cow boy, j'ai tous les disques de Johnny Cash, ça va aller comme sur des roulettes !" (ça, les copains, ça ne s'invente pas !!!)
Mais le résultat est, à peu près le même: Monsieur Larsen, jamais invité, mais toujours au premier rang; la contrebasse qui ronfle ou qu'on cherche désespérément au sein d'une soupe sonore dont les ingrédients sont le "banjo-tout-dans-les-aigües", la drôle de p'tite guitare, là, avec une crolle, c'est pareil ou bien on la confie au sieur Larsen qui en fait bon usage... La guitare-faut-mettre-un-bouchon-sur-la-rosace-sinon-ça-va-pas-ah-merde-y-a-pas-un-piezzo-dedans?" et le violon-ça-va-trop-fort sans oublier "le dobro-c'est-en-bois-pas-en-fer-c'est-à-cause-de-ça-que-ça-siffle"
Bref, toutes les conneries les plus classiques.
La meilleure que j'aie jamais entendue nous a été donnée par un ingé son de la radio belge francophone (RTBF) alors qu'il était complètement dépassé par son sujet, que le groupe à sonoriser était Good Ol' Person, qu'il avait déjà arraché les oreilles de tout le monde... voilà-t-il pas qu'il me lance fièrement " ça manque de pèche, ce groupe !"
Après de nombreux et infructueux essais, avec GOLDRUSH, nous avions opté pour un système electro-acoustique: tous le même, le système fishman complet (capteur piezzo, micro interne, blender) qui nous permettait de "faire" notre propre son d'instrument. Ceci dit en passant, en newgrass c'était ce qu'il fallait faire!
En gros, le volume était assuré par le piezzo et le "grain" par le micro interne.
Le Blender nous permettait de "travailler" (équilibre et mixage des deux sources, équalisation, et, éventuellement des effets complémentaires) ce son AVANT de l'envoyer à la table de mixage.
Le blender permettait également d'envoyer le mélange des deux sources à la table de façade et uniquement le son du pîezzo à la table de retour, ce qui évitait le Larsen au maximum).
Malheureusement, il reste un important problème non résolus:
Faire comprendre au sonorisateur que:
1. La "rythmique" de bluegrass fonctionne comme une batterie mais qu'il ne faut pas pour autant la mettre "tout en avant" comme dans la disco.
2. Qu'il vaut mieux laisser les musiciens régler leur propre volume en cours de jeu et ne plus jouer avec la "balance" une fois qu'elle est établie.
3. Que, même si tous les zicos demandent de bien entendre la basse et la guitare dans leurs retours et de baisser un peu le banjo dans ces mêmes retours, le public a le droit d'entendre la basse, le banjo et les autres instruments.
4. Que les chanteurs "chantent" (et ne hurlent pas!) dans leur micro et que le chant et ses harmonies sont importants.
5. Que le Larsen se cache dans les médiums et que, précisément, la difficulté est de rendre ces médiums correctement (dans la guitare et la mando...). S'il n'y arrive pas, il y a une phrase magique, un peu radicale mais ça sauve les meubles: "Creuse les médiums ! "
Le gros problème est que, à l'exception de festivals bluegrass (ce qui était le cas en Allemangne), les sonorisateurs sont habitués et équipés pour des instruments électriques, bourrés d'électronique (pédales, racks, effets...). Les trois quarts du temps, plus c'est à fond plus c'est plusse mieux...
Arrivent des espèces d'extra-terrestres avec des instruments acoustiques... z'êtes pas trompés d'adresse, les mecs? Non ? Ben merde alors...
Ah oui, j'oubliais: pas oublier de dire merci au sonorisateur avant de jouer le dernier morceau ni de dire à l'organisateur que le son était super!
Sinon... c'était votre dernier contrat en ce lieu de débauche...
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Mandochris
- Site Admin
- Messages : 2225
- Inscription : jeu. janv. 18, 2007 9:37 pm
Y'a du vrai dans ce que tu dis - aussi pour les remerciements. Mais, j'ose dire que nous avions un bon son à Vichy en novembre. Non? C'était notre sono et Gilles a aidé pour la balance, mais après c'était pas mal et le sonorisateur était de ceux pour l'acoustique représente un challenge et un plaisir.
A EWOB aussi, avec Claude et Riton, c'était plutôt bon.
Mais si tu arrives dans un endroit qui programme toutes sortes de musiques avec la sono du lieu, vous êtes cuits dans 99% des cas.
Donc, comment optimiser ses chances pour avoir un bon son? Pour moi, le schertler.
En effet, dire au sonorisateur de ne plus toucher aux réglages car on gère le volume nous-même, ils n'aiment pas. Je me souviens de JD Crowe & the New South qui ralait à ce sujet après leur concert à Craponne.
A EWOB aussi, avec Claude et Riton, c'était plutôt bon.
Mais si tu arrives dans un endroit qui programme toutes sortes de musiques avec la sono du lieu, vous êtes cuits dans 99% des cas.
Donc, comment optimiser ses chances pour avoir un bon son? Pour moi, le schertler.
En effet, dire au sonorisateur de ne plus toucher aux réglages car on gère le volume nous-même, ils n'aiment pas. Je me souviens de JD Crowe & the New South qui ralait à ce sujet après leur concert à Craponne.
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grassmatinee
- Messages : 5132
- Inscription : jeu. janv. 18, 2007 10:08 pm
Continuez, les gars, cette discussion touche à l'essentiel, à chaque contribution un peu plus...
Pour Mandochris, l'ingé de Vichy était l'ingénieur du son d'un théâtre, pas d'un festival... ceci explique aussi cela.
J'ai en gros la même approche que Chris : la seule différence est que j'utilise (presque) toujours la solution schertler+micro car ça me permet d'être sonorisé/m'entendre et libre de mouvement. Je veux dire par là que, pour gérer correctement un micro ("working a mike", disent-ils), il faut n'avoir plus que ça à résoudre, ce qui n'est pas mon cas... Je redis ici que cette solution/compromis m'a libéré la tête d'une très grande partie des problèmes que l'on rencontre sur scène "bluegrass" dans nos pays, et que Jeepee a très bien décrits!
Un aspect des choses à creuser, c'est la dualité: retour/salle, ou si vous préférez, le fait que s'entendre, bien ou mal, ou avoir un "bon" son n'indique pas pour autant que le public vous entendra correctement, et encore moins avec un bon son. Le premier problème d'un musicien est de s'entendre correctement, puis d'entendre les autres correctement...
Dans l'absolu, j'aimerais utiliser le micro dyn-M schertler pour le retour...
Enfin, pour tout le monde, il faut dire (à la manière de Churchill pour la démocratie) que les micros dynamiques schertler sont pour le moment les pires des "pick-up", à l'exception de tous les autres...
Pour Mandochris, l'ingé de Vichy était l'ingénieur du son d'un théâtre, pas d'un festival... ceci explique aussi cela.
J'ai en gros la même approche que Chris : la seule différence est que j'utilise (presque) toujours la solution schertler+micro car ça me permet d'être sonorisé/m'entendre et libre de mouvement. Je veux dire par là que, pour gérer correctement un micro ("working a mike", disent-ils), il faut n'avoir plus que ça à résoudre, ce qui n'est pas mon cas... Je redis ici que cette solution/compromis m'a libéré la tête d'une très grande partie des problèmes que l'on rencontre sur scène "bluegrass" dans nos pays, et que Jeepee a très bien décrits!
Un aspect des choses à creuser, c'est la dualité: retour/salle, ou si vous préférez, le fait que s'entendre, bien ou mal, ou avoir un "bon" son n'indique pas pour autant que le public vous entendra correctement, et encore moins avec un bon son. Le premier problème d'un musicien est de s'entendre correctement, puis d'entendre les autres correctement...
Dans l'absolu, j'aimerais utiliser le micro dyn-M schertler pour le retour...
Enfin, pour tout le monde, il faut dire (à la manière de Churchill pour la démocratie) que les micros dynamiques schertler sont pour le moment les pires des "pick-up", à l'exception de tous les autres...
je pense tout d'abord, que ce forum va s'enrichir d'idées et d'expériences en la matiere : que choisir poue ne pas se tromper ?
Comme Jeepy, j'ai une certaine expérience devant et surtout derriere les boutons pour dire que le son général DOIT être écrasé sur les mediums (surtout le 125Hz positionné TRES bas) sur l'équaliseur général.... quand il y en a un. Cependant, j'ai TOUJOURS eu des réticences pour se faire : " -touche pas au général, malheureux". Apres plus d'un cinquantaine de concert avec le meme matériel voici un certain temps, je peu affirmer que j'avais raisons, suite aux conseils pris à gauche et a droite de sonorisateurs avertis dans ces musiques.
Que cela soit àl'AEGC, à Craponne, avec mes divers groupes, chaque fois j'ai vu juste, quelque soit la salle.
En ce qui concerne la double amplification, je dois dire que c'est pas facile pour le sonorisateur que ne sais pas sur pied danser et sur quel micro provient le probleme, et comment jouer sur les parametres, cependant, je l'accorde, le musicien va "enfin" pouvoir s'entendre. Deja les sonorisateurs de nos musiques ne sont trés bons alors si on doit leur rajouter des batons dans les roues.....
J'ai donné plusieurs fois sur le problème : enervement de part et d'autre = incompréhension mutuelle
Pour ma part, je vais dans le sens q'un retour individualisé et indépendant de la sono de facade et géré par chaque musicien (chacun gère son propre matos) car :
- les retours sont en général pourris
- le sons des retours n'est pas manipulable : trop ou pas assez fort, brouillon, glauque
- l'un entend assez l'autre pas !!
Que faire ?
on fait donc un compromis merdique et...personne est satisfait au final.
- je n'ai jamais entendu quelqu'un dire qu'il s'etait senti bien jouer dans ces conditions
Autre point : ne pas mettre la basse ou la contrebasse dans les retours. TOUS le groupes US le font ainsi pour eviter le mélange pourri des sons trés graves avec les sons forcement tres aigus des banjos, mandos, violons...
Certains groupes jouent de plus en plus avec 2 micro de type Neuman : pas des clones foireux 3 fois moins cher qui, sommes toutes, ne vallent les premiers cités. C'est vrai que le prix est cher pour le nombre de fois que l'on passe sur scène !
STOP au beta 57 et beta 58
Ca va se finir avec un schertler david en ampli et un micro cravatte de type AT ou Shure de violon, comme cela, quoi qu'il arrive, je m'entendrai jouer comme à la maison
Comme Jeepy, j'ai une certaine expérience devant et surtout derriere les boutons pour dire que le son général DOIT être écrasé sur les mediums (surtout le 125Hz positionné TRES bas) sur l'équaliseur général.... quand il y en a un. Cependant, j'ai TOUJOURS eu des réticences pour se faire : " -touche pas au général, malheureux". Apres plus d'un cinquantaine de concert avec le meme matériel voici un certain temps, je peu affirmer que j'avais raisons, suite aux conseils pris à gauche et a droite de sonorisateurs avertis dans ces musiques.
Que cela soit àl'AEGC, à Craponne, avec mes divers groupes, chaque fois j'ai vu juste, quelque soit la salle.
En ce qui concerne la double amplification, je dois dire que c'est pas facile pour le sonorisateur que ne sais pas sur pied danser et sur quel micro provient le probleme, et comment jouer sur les parametres, cependant, je l'accorde, le musicien va "enfin" pouvoir s'entendre. Deja les sonorisateurs de nos musiques ne sont trés bons alors si on doit leur rajouter des batons dans les roues.....
J'ai donné plusieurs fois sur le problème : enervement de part et d'autre = incompréhension mutuelle
Pour ma part, je vais dans le sens q'un retour individualisé et indépendant de la sono de facade et géré par chaque musicien (chacun gère son propre matos) car :
- les retours sont en général pourris
- le sons des retours n'est pas manipulable : trop ou pas assez fort, brouillon, glauque
- l'un entend assez l'autre pas !!
Que faire ?
on fait donc un compromis merdique et...personne est satisfait au final.
- je n'ai jamais entendu quelqu'un dire qu'il s'etait senti bien jouer dans ces conditions
Autre point : ne pas mettre la basse ou la contrebasse dans les retours. TOUS le groupes US le font ainsi pour eviter le mélange pourri des sons trés graves avec les sons forcement tres aigus des banjos, mandos, violons...
Certains groupes jouent de plus en plus avec 2 micro de type Neuman : pas des clones foireux 3 fois moins cher qui, sommes toutes, ne vallent les premiers cités. C'est vrai que le prix est cher pour le nombre de fois que l'on passe sur scène !
STOP au beta 57 et beta 58
Ca va se finir avec un schertler david en ampli et un micro cravatte de type AT ou Shure de violon, comme cela, quoi qu'il arrive, je m'entendrai jouer comme à la maison
Je suis assez d'accord avec ce que JeePee et Tof ont écrit.
Le AT 831b et le col de cygne AT 350 ont l'air assez couru. L'inconvénient est une reprise importante des bruits parasites du genre médiator. C'est surtour marquant avec les picks du dobro. (C'est pourquoi j'utilise des picks au cobalt.)
L'autre piste est un capteur quelconque et un Fishman Aura en téléchargeant des "images sonores" existantes ou en faisant faire les siennes. Puis après ampli ou console.
Enfin les AT 4040. Deux pour le groupe avec une colonne du genre Personnal Amplification System Bose pour le son de scène. Je n'ai jamais pratiqué cette colonne mais on en dit le plus grand bien.
RésoMan
Le AT 831b et le col de cygne AT 350 ont l'air assez couru. L'inconvénient est une reprise importante des bruits parasites du genre médiator. C'est surtour marquant avec les picks du dobro. (C'est pourquoi j'utilise des picks au cobalt.)
L'autre piste est un capteur quelconque et un Fishman Aura en téléchargeant des "images sonores" existantes ou en faisant faire les siennes. Puis après ampli ou console.
Enfin les AT 4040. Deux pour le groupe avec une colonne du genre Personnal Amplification System Bose pour le son de scène. Je n'ai jamais pratiqué cette colonne mais on en dit le plus grand bien.
RésoMan
Dernière modification par RésoMan le mer. juin 20, 2007 6:44 pm, modifié 3 fois.
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flatpickdude
- Messages : 381
- Inscription : jeu. févr. 01, 2007 11:48 am
Avec BRT on revient du festival du col des roches, et nous étions dans une config :RésoMan a écrit :Enfin les AT 4040....
1 AT4040 pour chant, guitare rytmique, violon (Pierre c'est bien celui là qu'on a ?)
et 1 micro lead guitar (SM57), 1 pour banjo (JM à son propre engin), 1 mando (SM57 ?)
Faut bouger et ça marche, en gardant toujours à l'esprit qu'on doit jouer avec les memes variations que quand on joue sans sono.
Le sonorisateur ? balance avant chaque instrument + 1 morceau général,
ensuite il faut surtout qu'il ne touche plus à rien sauf quand on lui demande.
Mais la "vrai" config c'était 4 Wheel Drive : 1 micro. Je ne me rappelle plus du nom, imitation Neuman qui vient de Suède. Super ! Quand le b*nj* est en back up, il est à 3 mètres derrière et on l'entend parfaitement.
Dans le genre il y a aussi J Reischman et les Jaybirds. Jim Nunally à la guitare est parfaitement audible !
Del Mc Coury à un micro en + pour le violon.
J'ai aussi un micro dans la caisse, je ne m'en sers pas, le son est moche, et les règlages avec le groupe on fait comment ?
Pour la guitare : faire attention aux basses, les atténuer à l'eq et / ou prendre le son avec le mic par en dessous.
PS pour les vieux
: nous avons retrouvé là bas Phil Fromont.PS 2 pour tout : cancoillote sur saucisse de Mortaud,
Cordialement,
Flatpickdude.
Flatpickdude.
